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Syndrome de Korsakoff : que faire ?

Le syndrome de Korsakoff est une démence cérébrale sérieuse découlant d’années de prise outrée d’alcool associée à une nutrition pauvre ou anormale, qui peut mener à une déficience en thiamine ou vitamine B1. Les déficiences de la mémoire sont une des particularités de cette pathologie. Le plus souvent, les individus atteints du syndrome de Korsakoff ne s’aperçoivent pas de leur situation. Comment définir le syndrome de Korsakoff ? Comment le diagnostiquer ? Comment le traiter ? Zoom sur cette maladie.

Comment définir le syndrome de Korsakoff ?

Une démence qui peut mener au développement du cancer et des divers problèmes cardiovasculaires, l’alcool reste toujours une menace pour la santé. Il est impliqué dans le développement de plusieurs pathologies et d’autres atteintes. Il se présente comme étant l’une des premières origines de décès évitables, soit aux environs de 41 000 décès chaque année.

Parmi tous les dommages qu’il provoque, l’organe qui en souffre le plus est le cerveau. Avant l’âge de 65 ans, l’alcoolisme est l’une des premières origines de trouble prématuré. Plus la prise d’alcool débute au plus jeune âge, plus le dommage du cerveau est plus grave.

Le syndrome de Korsakoff est alors un déséquilibre cérébral qui s’annonce par des carences d’un grand nombre d’évènements aperçues par l’individu. Il est également connu sous l’appellation de trouble de Korsakoff ou syndrome amnésique. La maladie de Korsakoff est souvent accompagnée d’une déficience en vitamine B1 ou thiamine, qui peut provoquer de sérieux dommages au niveau de quelques endroits du cerveau.

Quelles sont les origines du syndrome de Korsakoff ?

La prise d’alcool de manière excessive associée à une nutrition pauvre et inappropriée peut causer une grave détérioration au niveau du foie, à un tel point que ce dernier n’arrivera plus créer de la thiamine. La thiamine ou la vitamine B1 est indispensable dans la majorité des tissus et dans la transformation des graisses, des glucides et des protéines en calorie. Des détériorations graves peuvent se produire dans quelques endroits du cerveau si cette transformation se voit corrompue.

La maladie est quelquefois précédée de la pathologie de Wernicke, une démence cérébrale qui s’annonce de façon pointue et qui est aussi la conséquence de plusieurs années de prise outrée d’alcool et de malnutrition. En conséquence, la personne atteinte du syndrome de Korsakoff est abasourdie et éprouve de démence de la mobilité et d’un engourdissement des nerfs optiques. Il sera alors contraint de recevoir une alimentation saine et équilibrée et des injections de vitamine B1 le plus rapidement possible, sinon l’affection peut atteindre grièvement à son état de santé.

Quels sont les signes du syndrome de Korsakoff ?

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La particularité la plus grave du syndrome de Korsakoff est la perte de la mémoire. Les informations perçues par la personne atteinte du syndrome ne savent être emmagasinées que durant 5 à 10 minutes, après ce laps de temps elles périssent. L’amnésie sera comblée inconsciemment par des rétablissements, à l’aide de discussions.

Mais à l’inverse du déséquilibre, le syndrome de Korsakoff n’impacte pas sur les aptitudes cérébrales de l’individu et les dégradations sont restreintes à la mémoire à courte période. Le trouble de Korsakoff n’est pas également accentué, les dommages neurologiques ne sont pas en effet réversibles, mais elles ne se développent pas si la personne atteinte de la maladie cesse entièrement et manifestement de prendre de l’alcool.

En plus de l’amnésie, d’autres troubles peuvent se manifester dans d’autres domaines. À savoir :

• Des démences de la coordination, qui se manifestent par un manque de fluidité dans les mouvements. La personne atteinte de la maladie a du mal à considérer les écarts et garder sa stabilité.
• Des problèmes comportementaux, qui s’annoncent par une privation d’intérêt.
• Des troubles du caractère, qui s’annoncent principalement par des sautes de caractère, des affolements et d’une sensation générale d’angoisse.
• Un déficit de la connaissance de la période et de l’espace. En effet, une personne touchée par le trouble de Korsakoff éprouve toujours des difficultés pour se repérer, elle peut alors s’égarer plus facilement. Elle n’arrive même plus à donner un indice sur la date, le mois ou encore l’année.

Syndrome de Diogène et maladie de Korsakoff : des manifestations distinctes

On remarque des ressemblances entre ces deux maladies. On peut en effet observer des manifestations distinctes au niveau de l’attitude :

• Le sujet peut nier les soutiens venant de son entourage malgré ses problèmes
• L’individu souffrant du Korsakoff a aussi cette tendance à s’isoler
• La négligence de son hygiène corporelle et de celui de son logement

Identique au syndrome de la syllogomanie et au syndrome de Diogène, l’individu atteint du trouble de Korsakoff peut aussi accumuler des objets inutiles et des déchets dans son appartement.

Comment traiter le syndrome de Korsakoff ?

Avant de commencer le traitement, le praticien peut prescrire des tests afin d’examiner si la personne atteinte du syndrome de Korsakoff ne souffre d’une autre maladie secondaire. Le praticien peut aussi prescrire des soins pour les symptômes de la personne Korsakoff.

• Sur l’alimentation, si le sujet souffre de malnutrition. Le praticien peut conseiller de lui donner des aliments sains et équilibrés jusqu’à ce que le sujet recouvre son appétit.
• Un traitement cognitif : le praticien peut ordonner un traitement cognitif afin d’aider le patient à saisir ce qui se produit dans son cerveau et à améliorer ces aptitudes de réflexion.
• Le praticien peut ordonner au proche de la personne atteinte du trouble de Korsakoff de lui donner des traitements anti-convulsions afin d’éviter les attaques.
• Pour apaiser l’inflammation du cerveau due au syndrome de Korsakoff, le praticien peut prescrire un traitement anti-inflammatoire.
• Traitement anti-amnésique : la plupart des individus souffrant du trouble de Korsakoff nécessitent de prendre des médicaments anti-amnésiques afin de soutenir leur aptitude à stocker de nouvelles mémoires. L’individu qui prend ses médicaments éprouve une légère sensation d’ivresse. Ils ne mettent pas l’individu incapable de mesurer des gestes. Ces traitements s’avèrent très dangereux s’ils sont mal dosés ou consommés par des sujets sans prescription.

Comme le Korsakoff et le Diogène disposent de quelques manifestations communes, notamment la négligence de l’hygiène et l’accumulation d’objets inutiles, il est alors très important de faire appel à un professionnel tel que NORD NETTOYAGE pour l’assainissement d’un appartement après le syndrome de Korsakoff.

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